Bonjour, voilà je suis en terminale L et pour lundi j'ai un devoir maison de philosophie sur la morale. Voici le texte: Etre bienfaisant quand on le peut, est u
Philosophie
lEmmawywyninion2000
Question
Bonjour, voilà je suis en terminale L et pour lundi j'ai un devoir maison de philosophie sur la morale.
Voici le texte:
"Etre bienfaisant quand on le peut, est un devoir, et de plus il y a certaines âmes si portées à la sympathie, que même sans un autre motif de vanité ou d'intérêt elles éprouvent une satisfaction intime à répandre la joie autour d'elles et qu'elles peuvent jouir du contentement d'autrui en tant qu'il est leur oeuvre. Mais je prétends que dans ce cas une telle action, si conforme au devoir, si aimable qu'elle soit, n'a pas cependant de valeur morale véritable, qu'elle va de pair avec d'autres inclinations, avec l'ambition par exemple qui, lorsqu'elle tombe heureusement sur ce qui est réellement en accord avec l'intérêt public et le devoir, sur ce qui par conséquent est honorable, mérite louange et encouragement, mais non respect; car il manque à la maxime la valeur morale, c'est-à-dire que ces actions soient faites, non par inclination, mais par devoir. Supposez donc que l'âme de ce philanthrope soit assombrie par un de ces chagrins personnels qui étouffent toute sympathie pour le sort d'autrui, qu'il ait toujours encore le pouvoir de faire du bien à d'autres malheureux, mais qu'il ne soit pas touché de l'infortune des autres, étant trop absorbé par la sienne propre, et que, dans ces conditions, tandis qu'aucune inclination ne l'y pousse plus, il s'arrache néanmoins cette insensibilité mortelle et qu'il agisse, sans que ce soit sous l'influence d'une inclination, uniquement par devoir, alors seulement son action a une véritable valeur morale."
J'ai vaguement compris le texte mais je n'arrive pas à trouver la thèse, la thèse adverse et le plan.
Vous pouvez m'aider?
Merci à ceux qui m'aideront! ;)
Voici le texte:
"Etre bienfaisant quand on le peut, est un devoir, et de plus il y a certaines âmes si portées à la sympathie, que même sans un autre motif de vanité ou d'intérêt elles éprouvent une satisfaction intime à répandre la joie autour d'elles et qu'elles peuvent jouir du contentement d'autrui en tant qu'il est leur oeuvre. Mais je prétends que dans ce cas une telle action, si conforme au devoir, si aimable qu'elle soit, n'a pas cependant de valeur morale véritable, qu'elle va de pair avec d'autres inclinations, avec l'ambition par exemple qui, lorsqu'elle tombe heureusement sur ce qui est réellement en accord avec l'intérêt public et le devoir, sur ce qui par conséquent est honorable, mérite louange et encouragement, mais non respect; car il manque à la maxime la valeur morale, c'est-à-dire que ces actions soient faites, non par inclination, mais par devoir. Supposez donc que l'âme de ce philanthrope soit assombrie par un de ces chagrins personnels qui étouffent toute sympathie pour le sort d'autrui, qu'il ait toujours encore le pouvoir de faire du bien à d'autres malheureux, mais qu'il ne soit pas touché de l'infortune des autres, étant trop absorbé par la sienne propre, et que, dans ces conditions, tandis qu'aucune inclination ne l'y pousse plus, il s'arrache néanmoins cette insensibilité mortelle et qu'il agisse, sans que ce soit sous l'influence d'une inclination, uniquement par devoir, alors seulement son action a une véritable valeur morale."
J'ai vaguement compris le texte mais je n'arrive pas à trouver la thèse, la thèse adverse et le plan.
Vous pouvez m'aider?
Merci à ceux qui m'aideront! ;)
1 Réponse
-
1. Réponse zoroastre
bonjour
En un mot toutes aides à autrui devrait venir de soi si naturellement que cela devrait se produire sans pensées préalables,donc en n'imaginant à aucun moment un quelconque remerciement,n'attendant pas un geste,un regard suivant l'acte de charité.Un jour,visitant une chapelle,je sort et une dame âgée me demande si je peux lui doner quelques pièces ce que j'ai immédiatement fait sans savoir ce que j'avais dans la poche,elle était je pense heureuse,mais tellement surpris et heureux d'un acte spontané,je suis parti normalement dans une joie sans autres pensées que que ce moment de bien être.
Il faut dans cegenre d'aide ne pas réfléchir,l'acte est bon,si la personne bénéficiant de ce bon geste,ne le mérite pas,ce n'est plus votre affaire,à elle de faire face à sa conscience.
Je souhaite vous avoir aidé