Je dois faire une nouvelle a chute je dois imaginet une suite en inserant un dialogue minimum 35 lignes voici le texte merci Bcp M. Walter Baxter était un gran
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jesnillemouanda
Question
Je dois faire une nouvelle a chute je dois imaginet une suite en inserant un dialogue minimum 35 lignes voici le texte merci Bcp M. Walter Baxter était un grand lecteur de romans policiers depuis de longues années. Le jour où il décida d’assassiner son oncle, il savait donc qu’il ne devait point commettre le moindre impair (1). Il savait aussi que pour éviter toute possibilité d’erreur, le mot d’ordre devait être 5 « simplicité ». Une rigoureuse simplicité. Pas d’alibi(2) préparé à l’avance et qui risque toujours de ne pas tenir. Pas de modus operandi (3) compliqué. Pas de fausses pistes manigancées (Préparées secrètement dans le but de tromper quelqu'un). Si, quand même, une fausse piste, mais petite. Toute simple. Il faudrait qu’il cambriole la maison de son oncle, et qu’il emporte tout l’argent liquide qu’il y trouverait, de telle manière 10 que le meurtre apparaisse comme un cambriolage ayant mal tourné. Sans cela, unique héritier de son oncle, il se désignerait trop comme suspect numéro un. Il prit tout son temps pour faire l’emplette (4) d’une pince-monseigneur (5) dans des conditions rendant impossible l’identificateur de l’acquéreur (ici, l’acheteur). La pincemonseigneur lui servirait à la fois d’outil et d’arme. 15 Il mit soigneusement au point les moindres détails, car il savait que la moindre erreur lui serait funeste (6) et il était certain de n’en commettre aucune. Avec grand soin, il fixa la nuit et l’heure de l’opération. La pince-monseigneur ouvrit une fenêtre sans difficulté et sans bruit. Il entra dans le salon. La porte donnant sur la chambre à coucher était grande ouverte, mais comme aucun bruit 20 n’en venait, il décida d’en finir d’abord avec la partie cambriolage de l’opération. Il savait où son oncle gardait son argent liquide, mais il tenait à donner l’impression que le cambrioleur l’avait longuement cherché. Le beau clair de lune lui permettait de bien voir à l’intérieur de la maison ; il travailla sans bruit… Deux heures plus tard, une fois rentré chez lui, il se déshabilla vite et se mit au lit. La 25 police n’avait aucune possibilité d’être alertée avant le lendemain, mais il était prêt à recevoir les policiers si par hasard ils se présentaient avant. Il s’était débarrassé de l’argent et de la pince-monseigneur. Certes, cela lui avait fait mal au cœur de détruire quelques centaines de dollars, mais il s’agissait là d’une mesure de sécurité – et quelques centaines de dollars étaient peu de chose, à coté des cinquante mille dollars au moins qu’allait représenter l’héritage (7). 30 On frappa à la porte. Déjà ? Il se força au calme, alla ouvrir. Le shérif et son adjoint entrèrent en le bousculant : « Walter Baxter ? Voici le mandat d’amener (8). Habillez-vous et suivez-nous. -Vous m’arrêtez ? Mais pourquoi ? - Vol avec effraction (9). Votre oncle vous a vu et reconnu ; il est resté sans faire de bruit à la 35 porte de sa chambre à coucher ; dès que vous êtes parti il est venu au poste et a fait sa déposition (10) sous serment. » La mâchoire de Walter Baxter s’affaissa (11). Il avait malgré tout commis une erreur. Il avait, certes, conçu (12) le meurtre parfait, mais le cambriolage l’avait tellement obnubilé (13) qu’il avait oublié de le commettre.
1 Réponse
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1. Réponse lyra1
oui moi aussi j'ai travaillée dessus ! en fait le meurtrier est tellement obnubilé par le cambriolage qu'il oublis de tuer son oncle ! son oncle va alors tout voir et aller au commisériat et porter plainte