Devoir de seconde histoire URGENT URGENT Sujet : La participation du citoyen aux institutions et à la vie de la cité : fondement de la démocratie athénienne En
Histoire
remidelo
Question
Devoir de seconde histoire URGENT URGENT
Sujet : La participation du citoyen aux institutions et à la vie de la cité : fondement de la démocratie athénienne
En vous appuyant sur le document, vous définirez ce qu'est la démocratie à Athènes au Ve siècle av.J.C, puis vous montrerez que certains des propos de l'auteur sont critiquables.
VOICI LE DOC: En l'honneur des morts de la 1er année de la guerre du Péloponèse (été 430 av JC) Périclés fait l'éloge d'Athènes. Les Spartiates dévastent alors la région d'Athènes.
Notre régime politique ne se propose pas pour modèle les lois d'autrui, et nous sommes nous mêmes, des exemples plutôt que des imitateurs. Pour leur nom, comme les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité, c'est une démocratie. S'agit il de ce que revient à chacun ? LA LOI, ELLE, FAIT A TOUS, POUR LEURS DIFFERENDS PRIVES, LA PART EGALE tandis que pour les titres, si l'on se distingue en quelque domaine, ce n'est pas l'appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous fait accéder aux honneurs ; enfin NUL GENE PAR LA PAUVRETE NI PAR L'OBSCURITE DE SA CONDITION SOCIALE, s'il peut rendre des sercices à la cité. La liberté est notre règle dans le gouvernement de la démocratie et, dans nos relations quotidiennes, la suspicion n'a aucune place. En outre, nous avons ménagé à l'âme des délassements fort nombreux ; nous avons institué des jeux et des fêtes qui se succédent d'un bout à l'autre de l'année, de merveilleux divertissement particuliers, dont l'agrément jounalier bannit la tristesse. Les mêmes hommes peuvent s'adonner à leurs affaires particulières et à celles de l'Etat ; les simples artisans peuvent comprendre suffisament les questions politiques. Seuls, nous considérons l'homme qui n'y paticipe pas comme un inutile et non comme un oisif. C'est par nous mêmes que nous décidons des affaires. Malgré cette tolérence, qui régit nos rapports privés, dans le domaine privés, dans le domaine public, la crainte nous retient avant tout de rien faire d'illégal, car nous prêtons attention aux magistrats qui se succédent et aus lois - surtout à celles qui fournissent un appui aux victimes de l'injustice, ou qui, sans être lois écrites, comportent sanction une honte indiscutée.
Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, II, fin du Ve siècle av JC d' après la traduction de C.Buchon, 1848
MERCI POUR VOTRE AIDE
Sujet : La participation du citoyen aux institutions et à la vie de la cité : fondement de la démocratie athénienne
En vous appuyant sur le document, vous définirez ce qu'est la démocratie à Athènes au Ve siècle av.J.C, puis vous montrerez que certains des propos de l'auteur sont critiquables.
VOICI LE DOC: En l'honneur des morts de la 1er année de la guerre du Péloponèse (été 430 av JC) Périclés fait l'éloge d'Athènes. Les Spartiates dévastent alors la région d'Athènes.
Notre régime politique ne se propose pas pour modèle les lois d'autrui, et nous sommes nous mêmes, des exemples plutôt que des imitateurs. Pour leur nom, comme les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité, c'est une démocratie. S'agit il de ce que revient à chacun ? LA LOI, ELLE, FAIT A TOUS, POUR LEURS DIFFERENDS PRIVES, LA PART EGALE tandis que pour les titres, si l'on se distingue en quelque domaine, ce n'est pas l'appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous fait accéder aux honneurs ; enfin NUL GENE PAR LA PAUVRETE NI PAR L'OBSCURITE DE SA CONDITION SOCIALE, s'il peut rendre des sercices à la cité. La liberté est notre règle dans le gouvernement de la démocratie et, dans nos relations quotidiennes, la suspicion n'a aucune place. En outre, nous avons ménagé à l'âme des délassements fort nombreux ; nous avons institué des jeux et des fêtes qui se succédent d'un bout à l'autre de l'année, de merveilleux divertissement particuliers, dont l'agrément jounalier bannit la tristesse. Les mêmes hommes peuvent s'adonner à leurs affaires particulières et à celles de l'Etat ; les simples artisans peuvent comprendre suffisament les questions politiques. Seuls, nous considérons l'homme qui n'y paticipe pas comme un inutile et non comme un oisif. C'est par nous mêmes que nous décidons des affaires. Malgré cette tolérence, qui régit nos rapports privés, dans le domaine privés, dans le domaine public, la crainte nous retient avant tout de rien faire d'illégal, car nous prêtons attention aux magistrats qui se succédent et aus lois - surtout à celles qui fournissent un appui aux victimes de l'injustice, ou qui, sans être lois écrites, comportent sanction une honte indiscutée.
Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, II, fin du Ve siècle av JC d' après la traduction de C.Buchon, 1848
MERCI POUR VOTRE AIDE
1 Réponse
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1. Réponse Topper67
D'après Thucydide la démocratie à Athènes est la participation de tous, quel que soit sa richesse ou son origine sociale, aux affaires de la Cité "nul n'est gêné par sa pauvreté ni par l'obscurité de sa condition sociale"
Cette démocratie ("les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité") est un exemple à suivre car elle se base sur le mérite qui peux faire accéder à des fonctions importantes. Thucydide donne en exemple le fait que la démocratie à instituer beaucoup de jeux et divertissement pour rendre heureux les citoyens.
Mais on peut opposer plusieurs critiques : la démocratie athénienne ne concerne pas tout le monde : les femmes, métèques et esclaves en sont exclus. D'autre part les citoyen les plus pauvres doivent travailler pour leur survie et n'ont pas forcément le temps de s'occuper de faire de la politique qui reste entre les mains des plus riches. C'est pour ça que Périclès introduis le misthos : une compensation financière pour ceux qui viennent aux assemblées, malheureusement ce seront surtout les plus riches encore une fois qui en profiteront alors qu'ils n'en on pas besoin