slt !!! SVP SVP aider moi c'est pour demain Tristan, dès qu’il entendit le cri strident de la bête, chevaucha à sa rencontre et nul de ses compagnons ne s’en ap
Français
rrania
Question
slt !!! SVP SVP aider moi c'est pour demain
Tristan, dès qu’il entendit le cri strident de la bête, chevaucha à sa rencontre et nul de ses compagnons ne s’en aperçut.Sur son chemin,il rencontra une troupe d’hommes armés qui fuyaient de toute la vitesse de leurs chevaux ;il saisit l’un d’eux par ses cheveux roux et le contraignit à s’arrêter. Celui-là lui apprit que le monstre les suivait et lui dit :« Retournez d’où vous venez,sinon le dragon ne va pas tarder à vous tuer.» Tristan passa outre à ce conseil de couard1et se porta au-devant du monstre.
Le dragon avait deux cornes au front,les oreilles longues et velues,les yeux étincelants à fleur de tête tels des charbons ardents, le mufle haut dressé comme celui d’une guivre2, la langue hors de la gueule, crachant de toutes parts le feu et le venin,le corps écailleux,des griffes de lion et la queue d’un serpent. Le monstre a vu Tristan : il rugit et enfle tout son corps. Le preux3 rassemble ses forces et, se couvrant de son écu4,broche4son destrier6avec une telle vigueur que le coursier,tout hérissé de peur,bondit pourtant contre la bête. La lance de Tristan heurte les écailles et vole en éclats. Aussitôt le preux tire son épée,la brandit et en assène un coup terrible sur la tête du dragon, mais sans même entamer le cuir. Le monstre a senti l’atteinte : il lance ses griffes contre l’écu, les y enfonce et en fait voler les attaches. La poitrine découverte, Tristan le requiert7 encore de l’épée et le frappe sur les flancs d’un coup si violent que l’air en retentit. Vainement : il ne peut l’entamer.
Alors,le dragon vomit par les naseaux un double jet de flammes : le haubert8 de Tristan noircit comme charbon,son cheval s’abat et meurt.Mais aussitôt relevé,Tristan enfonce la pointe de son épée dans la gueule du monstre :elle y pénètre toute et lui transperce le cœur.Le dragon pousse une dernière fois son cri horrible et meurt.
Quand Tristan le vit mort, il lui coupa la langue jusqu’à la racine, car il voulait la conserver comme un trophée9de victoire, et il la dissimula dans sa chausse10,entre la chair et l’étoffe.
6.Dans les lignes 2-7, repérez les verbes dont Tristan est sujet : que révèlent-ils sur son caractère ? (2 points)
7. Dans les lignes 17 à 25: a. À quel temps les verbes sont-ils conjugués ? (1 point)
b. Relevez les adverbes de temps.(1 point)
c. Que veut ainsi exprimer l’auteur ? (1,5 point)
8.Relevez l’expression qui décrit l’arme du dragon.(1,5 point)
9.Ce dragon ressemble-t-il à ceux que vous avez rencontrés au cours du chapitre ? Justifiez votre réponse.(2 points)
Tristan, dès qu’il entendit le cri strident de la bête, chevaucha à sa rencontre et nul de ses compagnons ne s’en aperçut.Sur son chemin,il rencontra une troupe d’hommes armés qui fuyaient de toute la vitesse de leurs chevaux ;il saisit l’un d’eux par ses cheveux roux et le contraignit à s’arrêter. Celui-là lui apprit que le monstre les suivait et lui dit :« Retournez d’où vous venez,sinon le dragon ne va pas tarder à vous tuer.» Tristan passa outre à ce conseil de couard1et se porta au-devant du monstre.
Le dragon avait deux cornes au front,les oreilles longues et velues,les yeux étincelants à fleur de tête tels des charbons ardents, le mufle haut dressé comme celui d’une guivre2, la langue hors de la gueule, crachant de toutes parts le feu et le venin,le corps écailleux,des griffes de lion et la queue d’un serpent. Le monstre a vu Tristan : il rugit et enfle tout son corps. Le preux3 rassemble ses forces et, se couvrant de son écu4,broche4son destrier6avec une telle vigueur que le coursier,tout hérissé de peur,bondit pourtant contre la bête. La lance de Tristan heurte les écailles et vole en éclats. Aussitôt le preux tire son épée,la brandit et en assène un coup terrible sur la tête du dragon, mais sans même entamer le cuir. Le monstre a senti l’atteinte : il lance ses griffes contre l’écu, les y enfonce et en fait voler les attaches. La poitrine découverte, Tristan le requiert7 encore de l’épée et le frappe sur les flancs d’un coup si violent que l’air en retentit. Vainement : il ne peut l’entamer.
Alors,le dragon vomit par les naseaux un double jet de flammes : le haubert8 de Tristan noircit comme charbon,son cheval s’abat et meurt.Mais aussitôt relevé,Tristan enfonce la pointe de son épée dans la gueule du monstre :elle y pénètre toute et lui transperce le cœur.Le dragon pousse une dernière fois son cri horrible et meurt.
Quand Tristan le vit mort, il lui coupa la langue jusqu’à la racine, car il voulait la conserver comme un trophée9de victoire, et il la dissimula dans sa chausse10,entre la chair et l’étoffe.
6.Dans les lignes 2-7, repérez les verbes dont Tristan est sujet : que révèlent-ils sur son caractère ? (2 points)
7. Dans les lignes 17 à 25: a. À quel temps les verbes sont-ils conjugués ? (1 point)
b. Relevez les adverbes de temps.(1 point)
c. Que veut ainsi exprimer l’auteur ? (1,5 point)
8.Relevez l’expression qui décrit l’arme du dragon.(1,5 point)
9.Ce dragon ressemble-t-il à ceux que vous avez rencontrés au cours du chapitre ? Justifiez votre réponse.(2 points)
1 Réponse
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1. Réponse aliochadidou
exo 1: rencontra, saisit, contraignit