Coucou à tous La façade principale sur la rue de l Hospice était une façad a perron double noircie à grandes fenêtre et sans grâce une maison bourgeoise de vieu
Français
Meliqmaroc
Question
Coucou à tous La façade principale sur la rue de l Hospice était une façad a perron double noircie à grandes fenêtre et sans grâce une maison bourgeoise de vieux village mais la roide pente de la ru bousculait un peu sa gravité et son perron boitait quatre marche d un côté six de l autre .
Grande maison grave revêche avec sa porte à clochette d orphelinat son entrée cochère à gros verrou de geôle ancienne maison qui ne souriait d un côté .[...]
Il arrivait qu un livre ouvert sur le dallage de la terrasse ou sur l herbe une corde à sauter serpentant dans une allée ou un minuscule jardin bordé de cailloux planté detête de fleurs révélassent autrefois dans le temps ou cette différent .Mais ces signe ne s accompagnaient presque jamais du cri ,du rire enfantins et le logis chaud et plein
ressemblait bizarrement à ces maison qu une fin de vacances vide en un moment de s toute sa joie .le silence le vent contenu du jardin clos les page du livre rebrousées sous le pouce invisible d un sylphe toutsemblait demander :<>
C est alors que paraissent sous l arceau de fer ancien que la glycine versait à gauche ma mère ronde et petite en ce temps ou l âge ne l avait pas encore décharnée .Elle scrutait la verdure massive levait la tête et jetait par les airs son appel :<>
Où? Nulle part .L appel traversait le jardin heurtait le grand mur de la remise à foin Et revenait en écho très faible comme épuisé :<>>
Nulle part .Ma mère renversait la tête vers les nuées comme si elle euût attendu qu un vol d enfant ailé s abbattît .Au bout d un moment elle jetait le même cri puis elle se lassait d interroger le ciel cassait de l ongle le grelot sec d un pavot grattait un rosier emperlé de pucerons verts cachait dans sa poche les premiere noix hochait le front en songeant aux enfant disparus et rentrait .
Cependant au-dessus d elle parmi le feuillage du noyer brillail le visage triangulaire en penché d un enfant allongé comme un matou sur une grosse branche et qui s taisait .Une mère moins myope eût elle devinédans les révérence précipité qu échangeaient les cimes des brusque bourrasque d octobre... Et dans la lucarne carrée au dessus de la poulies fourrage n eût elle pas aperçus en clignant les yeux ces deux tâches pâle dans le foin :le visage d'unjeune garçon et son livre ? Mais elle avaient renoncé à nous découvrir et désespéré de nous atteindre .
Voici les questions :
9.a. Recopiez la ou les bonnes réponses. Où les enfants sont-ils cachés ? - dans les arbres et dans le foin - à l'intérieur de la maison - ils sont sortis et sont absents.
b. À votre avis, pourquoi ne se manifestent-ils pas ?
Merci à ceux qui m'aideront
Grande maison grave revêche avec sa porte à clochette d orphelinat son entrée cochère à gros verrou de geôle ancienne maison qui ne souriait d un côté .[...]
Il arrivait qu un livre ouvert sur le dallage de la terrasse ou sur l herbe une corde à sauter serpentant dans une allée ou un minuscule jardin bordé de cailloux planté detête de fleurs révélassent autrefois dans le temps ou cette différent .Mais ces signe ne s accompagnaient presque jamais du cri ,du rire enfantins et le logis chaud et plein
ressemblait bizarrement à ces maison qu une fin de vacances vide en un moment de s toute sa joie .le silence le vent contenu du jardin clos les page du livre rebrousées sous le pouce invisible d un sylphe toutsemblait demander :<>
C est alors que paraissent sous l arceau de fer ancien que la glycine versait à gauche ma mère ronde et petite en ce temps ou l âge ne l avait pas encore décharnée .Elle scrutait la verdure massive levait la tête et jetait par les airs son appel :<>
Où? Nulle part .L appel traversait le jardin heurtait le grand mur de la remise à foin Et revenait en écho très faible comme épuisé :<>>
Nulle part .Ma mère renversait la tête vers les nuées comme si elle euût attendu qu un vol d enfant ailé s abbattît .Au bout d un moment elle jetait le même cri puis elle se lassait d interroger le ciel cassait de l ongle le grelot sec d un pavot grattait un rosier emperlé de pucerons verts cachait dans sa poche les premiere noix hochait le front en songeant aux enfant disparus et rentrait .
Cependant au-dessus d elle parmi le feuillage du noyer brillail le visage triangulaire en penché d un enfant allongé comme un matou sur une grosse branche et qui s taisait .Une mère moins myope eût elle devinédans les révérence précipité qu échangeaient les cimes des brusque bourrasque d octobre... Et dans la lucarne carrée au dessus de la poulies fourrage n eût elle pas aperçus en clignant les yeux ces deux tâches pâle dans le foin :le visage d'unjeune garçon et son livre ? Mais elle avaient renoncé à nous découvrir et désespéré de nous atteindre .
Voici les questions :
9.a. Recopiez la ou les bonnes réponses. Où les enfants sont-ils cachés ? - dans les arbres et dans le foin - à l'intérieur de la maison - ils sont sortis et sont absents.
b. À votre avis, pourquoi ne se manifestent-ils pas ?
Merci à ceux qui m'aideront
1 Réponse
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1. Réponse monstervampire
9.a. Recopiez la ou les bonnes réponses. Où les enfants sont-ils cachés ?
- dans les arbres et dans le foin -
b. À votre avis, pourquoi ne se manifestent-ils pas ?
Ils s'aperçoivent que leurs mères ne s'intèressent pas vraiment à eux puisque lorsqu'elle les appelle et qu'ils ne répondent pas, elle n'insiste pas.